Enfait c'est trÚs simple.. tout dépend du temps que l'on utilise : si c'est le futur on dit par exemple : la semaine prochaine, je viendrai te voir . Dans cette phrase, le sujet est "je" (celui fait l'action) et on a le verbe venir (qui est l'action que fait le sujet ). on annonce quelquechose qui va se faire dans le futur : une action
-35% Le deal Ă  ne pas rater KRUPS Essential – Machine Ă  cafĂ© automatique avec broyeur Ă  ... 299 € 459 € Voir le deal Le nuage enchantĂ© le coin montages et vidĂ©os 5 participantsAuteurMessagebambiiAdminMessages 126Date d'inscription 19/08/2008Sujet petite priĂšre pour toi... mon ange Ven 5 Sep - 1503 Ptit loup reçois cette priĂšre tu en as besoin pour te sentir mieux en ce momnt Ă©coutes la attentivement et respire.... SHERAZADMessages 551Date d'inscription 22/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Ven 5 Sep - 1556 c est magnifique bambinetteun grand merci pour cette radieuse priereje t aime et ton ange aussi Miss montageMessages 484Date d'inscription 20/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Ven 5 Sep - 2021 Elle est magnifique. Pour toi Ptit angePtit ange comment peut on t'aider Ă  te sentir mieux. Je suis triste de savoir que tu ne vas pas vous aime. SHERAZADMessages 551Date d'inscription 22/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Ven 5 Sep - 2040 OUI MOI AUSSIJE ME DEMANDE TOUS LES JOURS COMMENT TU VAJE M INKIETEPOUR TOIJE T AIME ALLEZ ON A BESOIN DE TOITELLEMENT BESOINJE T AIME alaneMessages 201Date d'inscription 21/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1019 je me joins Ă  mes amies pour que cette magninfique priĂšre atteigne ton ame., je forme des voeux pour que si elle est aux prises des orages de la vie tu puisses t en arracher , parce que tu es un ange , parce que tu es notre Etre de LumiĂšre adorĂ©, dans ces lointaines spheres bĂ©nies , mais si prĂšs de nous....je t aime mon ange contnue Ă  nous envoyer ces fleurs du ciel qui nourrissent nos ames. bisou bambinette et bisou Ă  tous mes amis. libelluleMessages 160Date d'inscription 19/08/2008Localisation quelque partSujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1245 je n'avais pas encore Ă©coutĂ© ,ni vu que c'etait cette chanson ,et juste avant de cliquĂ© pour voir ce que tu avais mis comme vidĂ©o ,je me suis dis ,la seule priĂ©re qui lui fera du bien c'est "L'avĂ© maria "chantĂ© par un petit ange terrestre ...et je vois que je n'Ă©tais pas loin ...mais ce n'est pas la bonne vidĂ©o!je t'aime... bambiiAdminMessages 126Date d'inscription 19/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1353 je sais qu'il en aurait prĂ©fĂ©rĂ© une autre celle chantĂ©e par "sa minuscule" mais bon... restons anonymes.... Miss montageMessages 484Date d'inscription 20/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1446 J'ai enregistrĂ© la chanson avec mon mp3 sur un blog. Je l'ai seulement empreintĂ©e pour faire une vidĂ©o J'ai fais ce montage que j'ai mis dans libĂ©rer votre coeur il y a quelque temps. Je pense qu'elle ira trĂšs bien ici. Ecoutes Ptit ange, cette vidĂ©o est pour toi. JTM Ptit ange. SHERAZADMessages 551Date d'inscription 22/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1534 OUI MOI AUSSI J EN SUIS CERTAINEGRO GRO BIBI ENORME A TOI MA BAMBINETTE libelluleMessages 160Date d'inscription 19/08/2008Localisation quelque partSujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1756 waaaaaaaaaaaaaamiss ,que dire de plus !devant tant de puretĂ© et d'amour ,je ne trouve pas les mots !rien Ă  voir avec l'autre vidĂ©o ,l'interprĂ©te de la chanson ,reste unique ...et nous emporte par dela les frontiĂ©res ...merci pour ce beau voyage. SHERAZADMessages 551Date d'inscription 22/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 1802 J AVAIS PAS VU CETTE MAGNIFIQUE INTERPRETATIONJE PENSAIS PAS QU ON AVAIT DROIT DE LE FAIREBIEN JOUE MISST ES LA MEILLEURE J EN AI JAMAIS DOUTEJE PLEURE RIEN QUE DE L ECOUTER Miss montageMessages 484Date d'inscription 20/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Sam 6 Sep - 2341 Je suis transportĂ©e par cette chanson. Dans un autre monde. SHERAZADMessages 551Date d'inscription 22/08/2008Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange Dim 7 Sep - 455 OUI JTE COMPRENDGRO BIBI A TOUSJ ESPERE QUE VOUS DORMEZ BIEN Contenu sponsorisĂ©Sujet Re petite priĂšre pour toi... mon ange petite priĂšre pour toi... mon ange Page 1 sur 1 Sujets similaires» Pas de question pour notre ange, mais juste un message pour lui et pour bambii» Pour toi Ptit ange» Spectacle pour notre ange» Merci ptit ange pour tes signes.» L'ange de ptit angePermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLe nuage enchantĂ© le coin montages et vidĂ©osSauter vers
Toi tu m'portais à bout de bras. Non, non, non, je n'ai pas toujours été sûr de moi J'ai douté tellement de fois Non, non, non, je ne sais pas ce que je ferais sans toi Oh yeah On dirait qu'on

PubliĂ©9 dĂ©cembre 2020, 2142Demi RoseJe ne serai jamais 100% satisfaite de mon corps»Demi Rose a appris Ă  ĂȘtre impermĂ©able aux mĂ©chancetĂ©s, mais doute encore d’ / 12La bimbo de 25 ans Ă©tait aux Maldives la semaine Britannique voyage rĂ©guliĂšrement
InstagramA Miami par exemple
InstagramElle a plus de 15 millions d’abonnĂ©s sur Instagram et ses courbes n’y sont pas pour rien. Mais, avant de bĂątir son petit empire, l’influenceuse et mannequin Demi Rose n’a pas toujours vu la vie en rose. Je n’ai jamais trouvĂ© ma place Ă  l’école, les gens Ă©taient assez mĂ©chants, a-t-elle confiĂ© au Daily Mail». Je suppose que j’étais juste diffĂ©rente.»AttirĂ©e par les mĂ©dias sociaux dĂšs son plus jeune Ăąge, l’ex du rappeur Tyga a essuyĂ© de nombreuses critiques, avant d’apprendre Ă  s’en protĂ©ger Maintenant, je bloque simplement tous les commentaires nĂ©gatifs, je ne veux pas que ça ait un impact sur moi.» La bimbo britannique de 25 ans avoue toutefois avoir encore des complexes. Je ne serai jamais 100% satisfaite de mon corps, mais je fais de l’exercice cinq Ă  six fois par semaine et je mange sainement», prĂ©cise-t-elle. Quant Ă  la chirurgie esthĂ©tique, selon elle, ça peut mal tourner et c’est mieux de ne pas prendre le risque. Mais je ne sais pas ce que je ressentirai lorsque je serai plus vieille.»Actuellement cĂ©libataire, celle qui a comme modĂšles Emily Ratajkowski et Kim Kardashian rĂȘve de se marier et d’avoir des enfants Je ne sais pas Ă  quoi ressemblerait mon corps aprĂšs un enfant. Il changera j’imagine. Mais j’aimerais en avoir un, deux, trois ou quatre!».Demi Rose est l’ambassadrice de la marque Pretty Little Thing. Voici la campagne de la nouvelle collection, sortie ce mercredi 9 dĂ©cembre 2020

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Jene sais pas ce qu'il faut entendre par "peut se lire". Oui elle "peut se lire", mais le sens n'(en !) est plus aussi clair : on peut alors comprendre "VoilĂ  les 1000 pages demandĂ©es et (par MĂȘme problĂšme ici... Parfois quand on est Ă  bout, et que la titulaire nous convoque pour la niĂšme fois , que le journal de classe n'est jamais en ordre, donc devoirs pas faits , contrĂŽles pas appris, il faut demander de l'aide Ă©ducative; quelques sĂ©ances de thĂ©rapie familiale peuvent venir Ă  bout de nos angoisses, j'ai ainsi , sur les conseils d'une thĂ©rapeute, fais testĂ© mon fils et les tests rĂ©vĂšlent qu'il est HP, s'emmerde en classe etc... Au mieux ça a rassurĂ© mon fils qui ne comprenait pas la cause de son Ă©chec et lui a redonnĂ© confiance, au pire, les profs ne savent que faire d'un enfant pareil et le cantonnent dans la case "stratĂ©gies d'Ă©vitement " "adolescent rebelle passif" "bordĂ©lique" etc... Lui, il s'en fout, j'ai eu moi aussi Ă  une Ă©poque, un sursaut de suppression de console, d'ordinateur , de rĂ©compense , de punition , CA NE SERT A RIEN ! Maintenant je me suis contentĂ©e de poser des rĂšgles d'usage de la console, j'ai mis un contrĂŽle parental avec plages horaires sur son PC, et ai mis en place une aide extĂ©rieure pour les devoirs une Ă©cole des devoirs de quartier oĂč il est en compagnie d'autre ados ayant ce genre de difficultĂ©s comme ça je ne pĂšte plus les plombs Ă  lui rĂ©pĂ©ter sans cesse " ALORS? TU LES FAIS CES DEVOIRS!!!" comme une conne...lol Bref, un jour, nous l'espĂ©rons, il comprendra et se prendra en charge et attrapera le virus de la rĂ©ussite, il faut rester positifs et faire confiance en nos ados , mĂȘme si on voit tout en noir... Un bon bouquin "MĂȘme pas grave" Olivier Revol l'Ă©chec scolaire ça se soigne Courage et confiance -
Ilne sait mĂȘme pas en soi que ses actions font mal Ă  l’autre : c’est sa façon de faire et il n’en connaĂźt pas d’autre. Le pervers narcissique pense qu’il ne peut pas ĂȘtre aimĂ© pour ce qu’il est vraiment et, pour palier Ă  ça, il va projeter une image de lui faussĂ© de la rĂ©alitĂ© tout en projetant chez toi tout ce qui ne va pas en lui C’est son moyen de dĂ©fense qu’il
Pascal Blache, maire LR du 6e arrondissement de Lyon, est l’invitĂ© de 6 minutes chrono. Il revient sur le premier tour de la prĂ©sidentielle et les projets des Ă©cologistes pour le musĂ©e Guimet ou le chalet du parc de la TĂȘte d’Or. Candidat aux lĂ©gislatives pour Les RĂ©publicains Ă  Lyon, Pascal Blache est sonnĂ© par le score de ValĂ©rie PĂ©cresse au premier tour de l’élection prĂ©sidentielle. “C’est un rĂ©sultat trĂšs trĂšs faible. Le contenu du programme Ă©tait de bonne qualitĂ©, mais elle a du mal Ă  incarner 
 Elle a Ă©tĂ© Ă©cartelĂ©e entre deux lignes politiques. Le score est presque catastrophique”, constate-t-il Pour le second tour, le maire d’arrondissement d’opposition n’a pas encore tranchĂ© entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron “je n’ai pas de consignes de vote particuliĂšres. Je ne sais pas ce que je ferai le 24 avril”. Pascal Blache donne aussi son avis sur le projet de reconversion de deux bĂątiments municipaux, le chalet du parc et le musĂ©e Guimet, situĂ©s dans son arrondissement “ces deux sites se dĂ©tĂ©riorent alors qu’ils sont emblĂ©matiques de la ville de Lyon. Sur le chalet du parc, j’aurai prĂ©fĂ©rĂ© aller plus loin, mais c’est bien de dĂ©marrer 
 Le musĂ©e Guimet mĂ©rite un projet complet, c’est un budget lourd. Aujourd’hui, il va juste ĂȘtre utilisĂ© comme un lieu d’exposition”.
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La Bible est un vrai soutien pour guider le croyant dans sa vie personnelle au jour le jour. Elle est la base de la confiance en Dieu. Alors pourquoi ne pas profiter de cette pause estivale pour augmenter cette confiance en lisant et mĂ©ditant quelques versets Ă  ramener dans ses bagages pour une rentrĂ©e paisible. Les secrets d’une vie chrĂ©tienne Ă©panouie rĂ©sident dans la Parole de Dieu. La premiĂšre chose est donc d’avoir confiance en Lui, en ses promesses, par rapport Ă  la vie, par rapport Ă  la nature humaine et de son propre cƓur
 En toute circonstance. Qui ne met pas sa confiance en Dieu perd tout », rappelle le pape François rĂ©guliĂšrement. C’est la clĂ© du succĂšs de la vie » car Dieu ne déçoit jamais, jamais », soulignait-il avec force lors d’une de ses visites aux paroisses romaines en 2014. Il s’adressait tout particuliĂšrement aux chrĂ©tiens qui se sentent tourmentĂ©s face aux Ă©preuves de la aussi Ayez confiance en Dieu !Qu’on les lise, les prie, ou les mĂ©dite, les versets bibliques permettent de repenser Ă  ces promesses divines, de les comprendre, de s’en nourrir, et nourrir en mĂȘme temps cette confiance en Dieu, elle seule capable de transformer le doute en certitude, le mal en bien, la nuit en aurore radieuse », comme dit le Pape dans un Tweet. En voici dix pour retrouver ou renforcer cette confiance pendant ces vacances. Ils seront une vraie valeur ajoutĂ©e pour la rentrĂ©e Sur l’amour inĂ©branlable de DieuL’amour donne confiance. Et Dieu est le plus grand des exemples d’amour que nous ayons sous les yeux. Il le donne inconditionnellement. Cet amour est parfait, fidĂšle, inĂ©branlable
 Ce n’est pas nous qui avons aimĂ© Dieu, mais c’est lui qui nous a aimĂ©s, et il a envoyĂ© son Fils en sacrifice de pardon pour nos pĂ©chĂ©s 
 Dieu demeure en nous, et, en nous, son amour atteint la perfection » 1 Jn 4, 10-12Cet amour apporte la certitude que nous sommes les grands vainqueurs
 », assure l’apĂŽtre Paul dans sa lettre aux Romains. Nous avons l’assurance que Ni la mort ni la vie, ni les anges ni les PrincipautĂ©s cĂ©lestes, ni le prĂ©sent ni l’avenir, ni les Puissances, ni les hauteurs, ni les abĂźmes, ni aucune autre crĂ©ature, rien ne pourra nous sĂ©parer de l’amour de Dieu qui est dans le Christ JĂ©sus notre Seigneur » Rm 8, 37-39Lire aussi Pape François Dieu est plus grand que nos pĂ©chĂ©s »Compter sur le SeigneurConscient de cet amour plus fort que ce que l’on peut imaginer, on peut compter sur Dieu en toute chose. Plus que sur ses propres moyens. Dans les bons et mauvais jours. La Bible nous dit qu’Il sait rĂ©compenser ceux qui comptent sur Lui. EspĂšre le Seigneur, sois fort et prends courage ; espĂšre le Seigneur », exhorte le psaume 26, 14. Pourquoi ? Parce que Immuable en son dessein » Il prĂ©serve la paix de qui s’appuie » sur Lui, explique le Livre d’IsaĂŻe Is 26, 3.La Bible dit encore que nous pouvons compter sur Dieu plus que sur quoi ou qui que ce soit d’autre Mieux vaut s’appuyer sur le Seigneur que de compter sur les puissants ! » Ps 117, 9Car Dieu ne ment pas et ne revient jamais sur ses promesses. Comme nous dit le Livre des Nombres Dieu n’est pas homme pour mentir, un fils d’Adam pour se rĂ©tracter » Nb 23, 19Et si l’on peut faire confiance Ă  quelqu’un pour de petites choses alors pourquoi ne pas faire confiance pour de grandes choses, comme celles promises par Dieu ? Comme dit L’apĂŽtre Luc Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est malhonnĂȘte dans la moindre chose est malhonnĂȘte aussi dans une grande ».Lire aussi Pourquoi prier quand cela ne marche pas ?Se dire tous les jours
Pour y arriver, pour renforcer cette confiance, se dire tous les jours J’espĂšre le Seigneur de toute mon Ăąme ; je l’espĂšre, et j’attends sa parole » Ps 129, 5. AuprĂšs de toi, ma forteresse, je veille ; oui, mon rempart, c’est Dieu ! » Ps 58, 10 Le Seigneur est pour moi, je ne crains pas ; que pourrait un homme contre moi ? » Ps 117, 6Si on supplie, Il nous Ă©coute. Comme assure la Bible, on trouvera alors la joie en Dieu, Le regardant enfin avec une rĂ©elle confiance Ainsi, tu trouveras tes dĂ©lices dans le Puissant, et vers Dieu tu Ă©lĂšveras ta face », est-il promis dans le Livre de Job 22, 26Lire aussi Savez-vous quel est le conseil le plus rĂ©pĂ©tĂ© dans la Bible ?PriĂšre de confiance Ă  DieuPour vous aider Ă  rĂ©tablir une vraie relation de confiance avec Dieu et la rendre inĂ©branlable, voici la PriĂšre Seigneur mon Dieu, je ne sais pas oĂč je vais et je Te ferai donc toujours confiance » de Thomas Merton 1915-1968, moine cistercien-trappiste amĂ©ricain Ă  l’Abbaye de GethsĂ©mani dans le Kentucky États-Unis Seigneur mon Dieu, je ne sais pas oĂč je vais, je ne vois pas la route devant moi, je ne peux pas prĂ©voir avec certitude oĂč elle aboutira. Je ne me connais pas vraiment moi-mĂȘme, et, si je crois sincĂšrement suivre Ta volontĂ©, cela ne veut pas dire qu’en fait je m’y conforme. Je crois cependant que mon dĂ©sir de Te plaire Te plaĂźt. J’espĂšre avoir ce dĂ©sir au cƓur de tout ce que je fais, et ne jamais rien faire Ă  l’avenir sans ce dĂ©sir. En agissant ainsi, je sais que Tu me conduiras sur la bonne route, mĂȘme si je ne la connais pas moi-mĂȘme. Je Te ferai donc toujours confiance, mĂȘme quand j’aurai l’impression que je me suis perdu et que je marche Ă  l’ombre de la mort. Je n’aurai aucune crainte car Tu es toujours avec moi et jamais Tu ne me laisseras seul dans le pĂ©ril. Amen ».Lire aussi La priĂšre est un avant-goĂ»t du ciel
RolexParis Masters 2017 - Antoine Benneteau : "Je serais Ă  la place de Yannick Noah, je ne sais pas ce que je ferais" Tennis Actu TV. Suivre. il y a 5 ans. Antoine Benneteau, frĂšre et entraineur de Julien,
ACTE PREMIER ScĂšne premiĂšre DORANTE, ARLEQUIN. Arlequin, introduisant Dorante. Ayez la bontĂ©, monsieur, de vous asseoir un moment dans cette salle, Mlle Marton est chez madame et ne tardera pas Ă  descendre. Dorante. Je vous suis obligĂ©. Arlequin. Si vous voulez, je vous tiendrai compagnie, de peur que l’ennui ne vous prenne ; nous discourrons en attendant. Dorante. Je vous remercie ; ce n’est pas la peine, ne vous dĂ©tournez point. Arlequin. Voyez, monsieur, n’en faites point de façon ; nous avons ordre de madame d’ĂȘtre honnĂȘte, et vous ĂȘtes tĂ©moin que je le suis. Dorante. Non, vous dis-je, je serais bien aise d’ĂȘtre un moment seul. Arlequin. Excusez, monsieur, et restez Ă  votre fantaisie. ScĂšne II DORANTE, DUBOIS, entrant avec un air de mystĂšre. Dorante. Ah ! te voilĂ  ? Dubois. Oui ; je vous guettais. Dorante. J’ai cru que je ne pourrais me dĂ©barrasser d’un domestique qui m’a introduit ici et qui voulait absolument me dĂ©sennuyer en restant. Dis-moi, M. Remy n’est donc pas encore venu ? Dubois. Non ; mais voici l’heure Ă  peu prĂšs qu’il vous a dit qu’il arriverait. Il cherche et regarde. N’y a-t-il lĂ  personne qui nous voie ensemble ? Il est essentiel que les domestiques ici ne sachent pas que je vous connaisse. Dorante. Je ne vois personne. Dubois. Vous n’avez rien dit de notre projet Ă  M. Remy, votre parent ? Dorante. Pas le moindre mot. Il me prĂ©sente de la meilleure foi du monde, en qualitĂ© d’intendant, Ă  cette dame-ci dont je lui ai parlĂ©, et dont il se trouve le procureur ; il ne sait point du tout que c’est toi qui m’as adressĂ© Ă  lui il la prĂ©vint hier ; il m’a dit que je me rendisse ce matin ici, qu’il me prĂ©senterait Ă  elle, qu’il y serait avant moi, ou que s’il n’y Ă©tait pas encore, je demandasse une mademoiselle Marton ; voilĂ  tout, et je n’aurais garde de lui confier notre projet, non plus qu’à personne il me paraĂźt extravagant, Ă  moi qui m’y prĂȘte. Je n’en suis pourtant pas moins sensible Ă  ta bonne volontĂ©, Dubois. Tu m’as servi, je n’ai pu te garder, je n’ai pu mĂȘme te bien rĂ©compenser de ton zĂšle ; malgrĂ© cela, il t’est venu dans l’esprit de faire ma fortune. En vĂ©ritĂ©, il n’est point de reconnaissance que je ne te doive. Dubois. Laissons cela, monsieur ; tenez, en un mot, je suis content de vous ; vous m’avez toujours plu ; vous ĂȘtes un excellent homme, un homme que j’aime ; et si j’avais bien de l’argent, il serait encore Ă  votre service. Dorante. Quand pourrai-je reconnaĂźtre tes sentiments pour moi ? Ma fortune serait la tienne ; mais je n’attends rien de notre entreprise, que la honte d’ĂȘtre renvoyĂ© demain. Dubois. Eh bien, vous vous en retournerez. Dorante. Cette femme-ci a un rang dans le monde ; elle est liĂ©e avec tout ce qu’il y a de mieux, veuve d’un mari qui avait une grande charge dans les finances ; et tu crois qu’elle fera quelque attention Ă  moi, que je l’épouserai, moi qui ne suis rien, moi qui n’ai point de bien ? Dubois. Point de bien ! votre bonne mine est un PĂ©rou. Tournez-vous un peu, que je vous considĂšre encore ; allons, monsieur, vous vous moquez ; il n’y a point de plus grand seigneur que vous Ă  Paris voilĂ  une taille qui vaut toutes les dignitĂ©s possibles, et notre affaire est infaillible, absolument infaillible. Il me semble que je vous vois dĂ©jĂ  en dĂ©shabillĂ© dans l’appartement de madame. Dorante. Quelle chimĂšre ! Dubois. Oui, je le soutiens ; vous ĂȘtes actuellement dans votre salle et vos Ă©quipages sont sous la remise. Dorante. Elle a plus de cinquante mille livres de rente, Dubois. Dubois. Ah ! vous en avez bien soixante pour le moins. Dorante. Et tu me dis qu’elle est extrĂȘmement raisonnable. Dubois. Tant mieux pour vous, et tant pis pour elle. Si vous lui plaisez, elle en sera si honteuse, elle se dĂ©battra tant, elle deviendra si faible, qu’elle ne pourra se soutenir qu’en Ă©pousant ; vous m’en direz des nouvelles. Vous l’avez vue et vous l’aimez ? Dorante. Je l’aime avec passion ; et c’est ce qui fait que je tremble. Dubois. Oh ! vous m’impatientez avec vos terreurs. Eh ! que diantre ! un peu de confiance ; vous rĂ©ussirez, vous dis-je. Je m’en charge, je le veux ; je l’ai mis lĂ . Nous sommes convenus de toutes nos actions, toutes nos mesures sont prises ; je connais l’humeur de ma maĂźtresse ; je sais votre mĂ©rite, je sais mes talents, je vous conduis ; et on vous aimera, toute raisonnable qu’on est ; on vous Ă©pousera, toute fiĂšre qu’on est ; et on vous enrichira, tout ruinĂ© que vous ĂȘtes ; entendez-vous ? FiertĂ©, raison et richesse, il faudra que tout se rende. Quand l’amour parle, il est le maĂźtre ; et il parlera. Adieu ; je vous quitte ; j’entends quelqu’un, c’est peut-ĂȘtre M. Remy ; nous voilĂ  embarquĂ©s, poursuivons. Il fait quelques pas, et revient. À propos, tĂąchez que Marton prenne un peu de goĂ»t pour vous. L’amour et moi, nous ferons le reste. ScĂšne III MONSIEUR REMY, DORANTE. Monsieur Remy. Bonjour, mon neveu ; je suis bien aise de vous voir exact. Mademoiselle Marton va venir on est allĂ© l’avertir. La connaissez-vous ? Dorante. Non, monsieur ; pourquoi me le demandez-vous ? Monsieur Remy. C’est qu’en venant ici, j’ai rĂȘvĂ© Ă  une chose
 Elle est jolie, au moins. Dorante. Je le crois. Monsieur Remy. Et de fort bonne famille ; c’est moi qui ai succĂ©dĂ© Ă  son pĂšre ; il Ă©tait fort ami du vĂŽtre, homme un peu dĂ©rangĂ© ; sa fille est restĂ©e sans bien. La dame d’ici a voulu l’avoir ; elle l’aime, la traite bien moins en suivante qu’en amie, lui a fait beaucoup de bien, lui en fera encore, et a offert mĂȘme de la marier. Marton a d’ailleurs une vieille parente asthmatique dont elle hĂ©rite, et qui est Ă  son aise. Vous allez ĂȘtre tous deux dans la mĂȘme maison ; je suis d’avis que vous l’épousiez ; qu’en dites-vous ? Dorante. Eh !
 mais je ne pensais pas Ă  elle. Monsieur Remy. Eh bien, je vous avertis d’y penser ; tĂąchez de lui plaire. Vous n’avez rien, mon neveu ; je dis rien qu’un peu d’espĂ©rance. Vous ĂȘtes mon hĂ©ritier ; mais je me porte bien, et je ferai durer cela le plus longtemps que je pourrai. Sans compter que je puis me marier ; je n’en ai point d’envie, mais cette envie-lĂ  vient tout d’un coup ; il y a tant de minois qui vous la donnent avec une femme on a des enfants, c’est la coutume ; auquel cas, serviteur au collatĂ©ral. Ainsi, mon neveu, prenez toujours vos petites prĂ©cautions, et vous mettez en Ă©tat de vous passer de mon bien, que je vous destine aujourd’hui, et que je vous ĂŽterai demain peut-ĂȘtre. Dorante. Vous avez raison, monsieur ; et c’est aussi Ă  quoi je vais travailler. Monsieur Remy. Je vous y exhorte. Voici mademoiselle Marton ; Ă©loignez-vous de deux pas pour me donner le temps de lui demander comment elle vous trouve. Dorante s’écarte un peu. ScĂšne IV MONSIEUR REMY, MARTON, DORANTE. Marton. Je suis fĂąchĂ©e, monsieur, de vous avoir fait attendre ; mais j’avais affaire chez madame. Monsieur Remy. Il n’y a pas grand mal, mademoiselle ; j’arrive. Que pensez-vous de ce grand garçon-lĂ  ? Montrant Dorante. Marton, riant. Eh ! par quelle raison, monsieur Remy, faut-il que je vous le dise ? Monsieur Remy. C’est qu’il est mon neveu. Marton. Eh bien ! Ce neveu-lĂ  est bon Ă  montrer ; il ne dĂ©pare point la famille. Monsieur Remy. Tout de bon ? C’est de lui dont j’ai parlĂ© Ă  madame pour intendant, et je suis charmĂ© qu’il vous revienne. Il vous a dĂ©jĂ  vue plus d’une fois chez moi quand vous y ĂȘtes venue ; vous en souvenez-vous ? Marton. Non je n’en ai point d’idĂ©e. Monsieur Remy. On ne prend pas garde Ă  tout. Savez-vous ce qu’il me dit la premiĂšre fois qu’il vous vit ? Quelle est cette jolie fille-lĂ  ? » Marton sourit. Approchez, mon neveu. Mademoiselle, votre pĂšre et le sien s’aimaient beaucoup ; pourquoi les enfants ne s’aimeraient-ils pas ? En voilĂ  un qui ne demande pas mieux c’est un cƓur qui se prĂ©sente bien. Dorante, embarrassĂ©. Il n’y a rien lĂ  de difficile Ă  croire. Monsieur Remy. Voyez comme il vous regarde ! vous ne feriez pas lĂ  une si mauvaise emplette. Marton. J’en suis persuadĂ©e, monsieur prĂ©vient en sa faveur, et il faudra voir. Monsieur Remy. Bon, bon ! Il faudra ! Je ne m’en irai point que cela ne soit vu. Marton, riant. Je craindrais d’aller trop vite. Dorante. Vous importunez mademoiselle, monsieur. Marton, riant. Je n’ai pourtant pas l’air si indocile. Monsieur Remy, joyeux. Ah ! je suis content vous voilĂ  d’accord. Oh ! çà, mes enfants il leur prend les mains Ă  tous deux, je vous fiance, en attendant mieux. Je ne saurais rester ; je reviendrai tantĂŽt. Je vous laisse le soin de prĂ©senter votre futur Ă  madame. Adieu, ma niĂšce. Il sort. Marton, riant. Adieu donc, mon oncle. ScĂšne V MARTON, DORANTE. Marton. En vĂ©ritĂ©, tout ceci a l’air d’un songe. Comme M. Remy expĂ©die ! Votre amour me paraĂźt bien prompt ; sera-t-il aussi durable ? Dorante. Autant l’un que l’autre, mademoiselle. Marton. Il s’est trop hĂątĂ© de partir. J’entends madame qui vient, et comme, grĂące aux arrangements de M. Remy, vos intĂ©rĂȘts sont presque les miens, ayez la bontĂ© d’aller un moment sur la terrasse, afin que je la prĂ©vienne. Dorante. Volontiers, mademoiselle. Marton, en le voyant sortir. J’admire le penchant dont on se prend tout d’un coup l’un pour l’autre. ScĂšne VI ARAMINTE, MARTON. Araminte. Marton, quel est donc cet homme qui vient de me saluer si gracieusement, et qui passe sur la terrasse ? Est-ce Ă  vous qu’il en veut ? Marton. Non, madame, c’est Ă  vous-mĂȘme. Araminte, d’un air assez vif. Eh bien, qu’on le fasse venir ; pourquoi s’en va-t-il ? Marton. C’est qu’il a souhaitĂ© que je vous parlasse auparavant. C’est le neveu de M. Remy, celui qu’il vous a proposĂ© pour homme d’affaires. Araminte. Ah ! c’est lĂ  lui ! Il a vraiment trĂšs bonne façon. Marton. Il est gĂ©nĂ©ralement estimĂ© ; je le sais. Araminte. Je n’ai pas de peine Ă  le croire ; il a tout l’air de le mĂ©riter. Mais, Marton, il a si bonne mine pour un intendant, que je me fais quelque scrupule de le prendre ; n’en dira-t-on rien ? Marton. Et que voulez-vous qu’on dise ? Est-on obligĂ© de n’avoir que des intendants mal faits ? Araminte. Tu as raison. Dis-lui qu’il revienne. Il n’était pas nĂ©cessaire de me prĂ©parer Ă  le recevoir. DĂšs que c’est M. Remy qui me le donne, c’en est assez ; je le prends. Marton, comme s’en allant. Vous ne sauriez mieux choisir. Puis revenant. Êtes-vous convenue du parti que vous lui faites ? M. Remy m’a chargĂ©e de vous en parler. Araminte. Cela est inutile. Il n’y aura point de dispute lĂ -dessus. DĂšs que c’est un honnĂȘte homme, il aura lieu d’ĂȘtre content. Appelez-le. Marton, hĂ©sitant de partir. On lui laissera ce petit appartement qui donne sur le jardin, n’est-ce pas ? Araminte. Oui, comme il voudra ; qu’il vienne. Marton va dans la coulisse. ScĂšne VII DORANTE, ARAMINTE, MARTON. Marton. Monsieur Dorante, madame vous attend. Araminte. Venez, monsieur ; je suis obligĂ©e Ă  M. Remy d’avoir songĂ© Ă  moi. Puisqu’il me donne son neveu, je ne doute pas que ce ne soit un prĂ©sent qu’il me fasse. Un de mes amis me parla avant-hier d’un intendant qu’il doit m’envoyer aujourd’hui ; mais je m’en tiens Ă  vous. Dorante. J’espĂšre, madame, que mon zĂšle justifiera la prĂ©fĂ©rence dont vous m’honorez, et que je vous supplie de me conserver. Rien ne m’affligerait tant Ă  prĂ©sent que de la perdre. Marton. Madame n’a pas deux paroles. Araminte. Non, monsieur ; c’est une affaire terminĂ©e, je renverrai tout. Vous ĂȘtes au fait des affaires apparemment ? vous y avez travaillĂ© ? Dorante. Oui, madame ; mon pĂšre Ă©tait avocat, et je pourrais l’ĂȘtre moi-mĂȘme. Araminte. C’est-Ă -dire que vous ĂȘtes un homme de trĂšs bonne famille, et mĂȘme au-dessus du parti que vous prenez. Dorante. Je ne sens rien qui m’humilie dans le parti que je prends, madame ; l’honneur de servir une dame comme vous n’est au-dessous de qui que ce soit, et je n’envierai la condition de personne. Araminte. Mes façons ne vous feront point changer de sentiment. Vous trouverez ici tous les Ă©gards que vous mĂ©ritez ; et si, dans la suite, il y avait occasion de vous rendre service, je ne la manquerai point. Marton. VoilĂ  madame ; je la reconnais. Araminte. Il est vrai que je suis toujours fĂąchĂ©e de voir d’honnĂȘtes gens sans fortune, tandis qu’une infinitĂ© de gens de rien, et sans mĂ©rite, en ont une Ă©clatante. C’est une chose qui me blesse, surtout dans les personnes de son Ăąge ; car vous n’avez que trente ans, tout au plus ? Dorante. Pas tout Ă  fait encore, madame. Araminte. Ce qu’il y a de consolant pour vous, c’est que vous avez le temps de devenir heureux. Dorante. Je commence Ă  l’ĂȘtre d’aujourd’hui, madame. Araminte. On vous montrera l’appartement que je vous destine. S’il ne vous convient pas, il y en a d’autres, et vous choisirez. Il faut aussi quelqu’un qui vous serve, et c’est Ă  quoi je vais pourvoir. Qui lui donnerons-nous, Marton ? Marton. Il n’y a qu’à prendre Arlequin, madame. Je le vois Ă  l’entrĂ©e de la salle et je vais l’appeler. Arlequin, parlez Ă  madame. ScĂšne VIII ARAMINTE, DORANTE, MARTON, ARLEQUIN. Arlequin. Me voilĂ , madame. Araminte. Arlequin, vous ĂȘtes Ă  prĂ©sent Ă  monsieur ; vous le servirez ; je vous donne Ă  lui. Arlequin. Comment, madame, vous me donnez Ă  lui ! Est-ce que je ne serai plus Ă  moi ? Ma personne ne m’appartiendra donc plus ? Marton. Quel benĂȘt ! Araminte. J’entends qu’au lieu de me servir, ce sera lui que tu serviras. Arlequin, comme pleurant. Je ne sais pas pourquoi madame me donne mon congĂ© ; je n’ai pas mĂ©ritĂ© ce traitement je l’ai toujours servie Ă  faire plaisir. Araminte. Je ne te donne point ton congĂ© ; je te payerai pour ĂȘtre Ă  Monsieur. Arlequin. Je reprĂ©sente Ă  madame que cela ne serait pas juste ; je ne donnerai pas ma peine d’un cĂŽtĂ©, pendant que l’argent me viendra d’un autre. Il faut que vous ayez mon service, puisque j’aurai vos gages ; autrement je friponnerais madame. Araminte. Je dĂ©sespĂšre de lui faire entendre raison. Marton. Tu es bien sot ! quand je t’envoie quelque part, ou que je te dis Fais telle ou telle chose », n’obĂ©is-tu pas ? Arlequin. Toujours. Marton. Eh bien, ce sera monsieur qui te le dira comme moi, et ce sera Ă  la place de madame et par son ordre. Arlequin. Ah ! c’est une autre affaire. C’est madame qui donnera ordre Ă  monsieur de souffrir mon service, que je lui prĂȘterai par le commandement de madame. Marton. VoilĂ  ce que c’est. Arlequin. Vous voyez bien que cela mĂ©ritait explication. Un Domestique. Voici votre marchande qui vous apporte des Ă©toffes, madame. Araminte. Je vais les voir et je reviendrai. Monsieur, j’ai Ă  vous parler d’une affaire ; ne vous Ă©loignez pas. ScĂšne IX DORANTE, MARTON, ARLEQUIN. Arlequin. Oh çà, monsieur, nous sommes donc l’un Ă  l’autre, et vous avez le pas sur moi ? Je serai le valet qui sert ; et vous le valet qui serez servi par ordre. Marton. Ce faquin avec ses comparaisons ! Va-t’en. Arlequin. Un moment ; avec votre permission, monsieur, ne payerez-vous rien ? Vous a-t-on donnĂ© ordre d’ĂȘtre servi gratis ? Dorante rit. Marton. Allons, laisse-nous. Madame te payera ; n’est-ce pas assez ? Arlequin. Pardi ! monsieur, je ne vous coĂ»terai donc guĂšre ? On ne saurait avoir un valet Ă  meilleur marchĂ©. Dorante. Arlequin a raison. Tiens, voilĂ  d’avance ce que je te donne. Arlequin. Ah ! voilĂ  une action de maĂźtre. À votre aise le reste. Dorante. Va boire Ă  ma santĂ©. Arlequin, s’en allant. Oh ! s’il ne faut que boire afin qu’elle soit bonne, tant que je vivrai, je vous la promets excellente. À part. Le gracieux camarade qui m’est venu lĂ  par hasard ! ScĂšne X DORANTE, MARTON, MADAME ARGANTE, qui arrive un instant aprĂšs. Marton. Vous avez lieu d’ĂȘtre satisfait de l’accueil de madame ; elle paraĂźt faire cas de vous, et tant mieux, nous n’y perdrons point. Mais voici madame Argante ; je vous avertis que c’est sa mĂšre, et je devine Ă  peu prĂšs ce qui l’amĂšne. Madame Argante. Eh bien, Marton, ma fille a un nouvel intendant que son procureur lui a donnĂ©, m’a-t-elle dit. J’en suis fĂąchĂ©e ; cela n’est point obligeant pour monsieur le comte, qui lui en avait retenu un. Du moins devait-elle attendre et les voir tous deux. D’oĂč vient prĂ©fĂ©rer celui-ci ? Quelle espĂšce d’homme est-ce ? Marton. C’est monsieur, madame. Madame Argante. Eh ? c’est monsieur ! Je ne m’en serais pas doutĂ©e ; il est bien jeune. Marton. À trente ans on est en Ăąge d’ĂȘtre intendant de maison, madame. Madame Argante. C’est selon. Êtes-vous arrĂȘtĂ©, monsieur ? Dorante. Oui, madame. Madame Argante. Et de chez qui sortez-vous ? Dorante. De chez moi, madame ; je n’ai encore Ă©tĂ© chez personne. Madame Argante. De chez vous ! Vous allez donc faire ici votre apprentissage ? Marton. Point du tout. Monsieur entend les affaires ; il est fils d’un pĂšre extrĂȘmement habile. Madame Argante, Ă  Marton, Ă  part. Je n’ai pas grande opinion de cet homme-lĂ . Est-ce lĂ  la figure d’un intendant ? Il n’en a non plus l’air
 Marton, Ă  part. L’air n’y fait rien. Haut. Je vous rĂ©ponds de lui ; c’est l’homme qu’il nous faut. Madame Argante. Pourvu que monsieur ne s’écarte pas des intentions que nous avons, il me sera indiffĂ©rent que ce soit lui ou un autre. Dorante. Peut-on savoir ces intentions, madame ? Madame Argante. Connaissez-vous M. le comte Dorimont ? C’est un homme d’un beau nom. Ma fille et lui allaient avoir un procĂšs ensemble au sujet d’une terre considĂ©rable. Il ne s’agissait pas moins que de savoir Ă  qui elle resterait ; et on a songĂ© Ă  les marier pour empĂȘcher qu’ils ne plaident. Ma fille est veuve d’un homme qui Ă©tait fort considĂ©rĂ© dans le monde, et qui l’a laissĂ©e fort riche. Madame la comtesse Dorimont aurait un rang si Ă©levĂ©, irait de pair avec des personnes d’une si grande distinction, qu’il me tarde de voir ce mariage conclu ; et, je l’avoue, je serai charmĂ©e moi-mĂȘme d’ĂȘtre la mĂšre de madame la comtesse Dorimont, et de plus que cela peut-ĂȘtre ; car M. le comte Dorimont est en passe d’aller Ă  tout. Dorante. Les paroles sont-elles donnĂ©es de part et d’autre ? Madame Argante. Pas tout Ă  fait encore, mais Ă  peu prĂšs ; ma fille n’en est pas Ă©loignĂ©e. Elle souhaiterait seulement ĂȘtre bien instruite de l’état de l’affaire et savoir si elle n’a pas meilleur droit que monsieur le comte, afin que, si elle l’épouse, il lui en ait plus d’obligation. Mais j’ai quelquefois peur que ce ne soit une dĂ©faite. Ma fille n’a qu’un dĂ©faut ; c’est que je ne lui trouve pas assez d’élĂ©vation. Le beau nom de Dorimont et le rang de comtesse ne la touchent pas assez ; elle ne sent pas le dĂ©sagrĂ©ment qu’il y a de n’ĂȘtre qu’une bourgeoise. Elle s’endort dans cet Ă©tat, malgrĂ© le bien qu’elle a. Dorante, doucement. Peut-ĂȘtre n’en sera-t-elle pas plus heureuse, si elle en sort. Madame Argante, vivement. Il ne s’agit pas de ce que vous pensez. Gardez votre petite rĂ©flexion roturiĂšre ; et servez-nous, si vous voulez ĂȘtre de nos amis. Marton. C’est un petit trait de morale qui ne gĂąte rien Ă  notre affaire ! Madame Argante. Morale subalterne qui me dĂ©plaĂźt. Dorante. De quoi est-il question, madame ? Madame Argante. De dire Ă  ma fille, quand vous aurez vu ses papiers, que son droit est le moins bon ; que si elle plaidait, elle perdrait. Dorante. Si effectivement son droit est le plus faible, je ne manquerai pas de l’en avertir, madame. Madame Argante, Ă  Marton, Ă  part. Hum ! quel esprit bornĂ© ! À Dorante. Vous n’y ĂȘtes point ; ce n’est pas lĂ  ce qu’on vous dit ; on vous charge de lui parler ainsi, indĂ©pendamment de son droit bien ou mal fondĂ©. Dorante. Mais, madame, il n’y aurait point de probitĂ© Ă  la tromper. Madame Argante. De probitĂ© ! J’en manque donc, moi ? Quel raisonnement ! C’est moi qui suis sa mĂšre, et qui vous ordonne de la tromper Ă  son avantage, entendez-vous ? c’est moi, moi. Dorante. Il y aura toujours de la mauvaise foi de ma part. Madame Argante, Ă  Marton, Ă  part. C’est un ignorant que cela, qu’il faut renvoyer. Adieu, monsieur l’homme d’affaires, qui n’avez fait celles de personne. Elle sort. ScĂšne XI DORANTE, MARTON. Dorante. Cette mĂšre-lĂ  ne ressemble guĂšre Ă  sa fille. Marton. Oui, il y a quelque diffĂ©rence ; et je suis fĂąchĂ©e de n’avoir pas eu le temps de vous prĂ©venir sur son humeur brusque. Elle est extrĂȘmement entĂȘtĂ©e de ce mariage, comme vous voyez. Au surplus, que vous importe ce que vous direz Ă  la fille ? Vous n’aurez rien Ă  vous reprocher, ce me semble. Ce ne sera pas lĂ  une tromperie. Dorante. Eh ! vous m’excuserez ; ce sera toujours l’engager Ă  prendre un parti qu’elle ne prendrait peut-ĂȘtre pas sans cela. Puisque l’on veut que j’aide Ă  l’y dĂ©terminer, elle y rĂ©siste donc ? Marton. C’est par indolence. Dorante. Croyez-moi ; disons la vĂ©ritĂ©. Marton. Oh çà, il y a une petite raison Ă  laquelle vous devez vous rendre ; c’est que monsieur le comte me fait prĂ©sent de mille Ă©cus le jour de la signature du contrat ; et cet argent-lĂ , suivant le projet de M. Remy, vous regarde aussi bien que moi, comme vous voyez. Dorante. Tenez, mademoiselle Marton, vous ĂȘtes la plus aimable fille du monde, mais ce n’est que faute de rĂ©flexion que ces mille Ă©cus vous tentent. Marton. Au contraire, c’est par rĂ©flexion qu’ils me tentent ; plus j’y rĂȘve, et plus je les trouve bons. Dorante. Mais vous aimez votre maĂźtresse ; et si elle n’était pas heureuse avec cet homme-lĂ , ne vous reprocheriez-vous pas d’y avoir contribuĂ© pour une si misĂ©rable somme ? Marton. Ma foi, vous avez beau dire ; d’ailleurs, le comte est un honnĂȘte homme et je n’y entends point de finesse. VoilĂ  madame qui revient, elle a Ă  vous parler. Je me retire. MĂ©ditez sur cette somme ; vous la goĂ»terez aussi bien que moi. Elle sort. Dorante. Je ne suis pas si fĂąchĂ© de la tromper. ScĂšne XII ARAMINTE, DORANTE. Araminte. Vous avez donc vu ma mĂšre ? Dorante. Oui, madame ; il n’y a qu’un moment. Araminte. Elle me l’a dit, et voudrait bien que j’en eusse pris un autre que vous. Dorante. Il me l’a paru. Araminte. Oui ; mais ne vous embarrassez point ; vous me convenez. Dorante. Je n’ai point d’autre ambition. Araminte. Parlons de ce que j’ai Ă  vous dire ; mais que ceci soit secret entre nous, je vous prie. Dorante. Je me trahirais plutĂŽt moi-mĂȘme. Araminte. Je n’hĂ©site point non plus Ă  vous donner ma confiance. Voici ce que c’est on veut me marier avec M. le comte Dorimont pour Ă©viter un grand procĂšs que nous aurions ensemble au sujet d’une terre que je possĂšde. Dorante. Je le sais, madame ; et j’ai le malheur d’avoir dĂ©plu tout Ă  l’heure lĂ -dessus Ă  madame Argante. Araminte. Eh ! d’oĂč vient ? Dorante. C’est que si, dans votre procĂšs, vous avez le bon droit de votre cĂŽtĂ©, on souhaite que je vous dise le contraire, afin de vous engager plus vite Ă  ce mariage ; et j’ai priĂ© qu’on m’en dispensĂąt. Araminte. Que ma mĂšre est frivole ! Votre fidĂ©litĂ© ne me surprend point ; j’y comptais. Faites toujours de mĂȘme, et ne vous choquez point de ce que ma mĂšre vous a dit. Je la dĂ©sapprouve. A-t-elle tenu quelque discours dĂ©sagrĂ©able ? Dorante. Il n’importe, madame ; mon zĂšle et mon attachement en augmentent ; voilĂ  tout. Araminte. Et voilĂ  pourquoi aussi je ne veux pas qu’on vous chagrine, et j’y mettrai bon ordre. Qu’est-ce que cela signifie ? Je me fĂącherai, si cela continue. Comment donc ! vous ne seriez pas en repos ! On aura de mauvais procĂ©dĂ©s avec vous, parce que vous en avez d’estimables ; cela serait plaisant ! Dorante. Madame, par toute la reconnaissance que je vous dois, n’y prenez point garde. Je suis confus de vos bontĂ©s, et je suis trop heureux d’avoir Ă©tĂ© querellĂ©. Araminte. Je loue vos sentiments. Revenons Ă  ce procĂšs dont il est question, si je n’épouse point monsieur le comte. ScĂšne XIII DORANTE, ARAMINTE, DUBOIS. Dubois. Madame la Marquise se porte mieux, madame Il feint de voir Dorante avec surprise, et vous est fort obligĂ©e
 fort obligĂ©e de votre attention. Dorante feint de dĂ©tourner la tĂȘte, pour se cacher de Dubois. Araminte. VoilĂ  qui est bien. Dubois, regardant toujours Dorante. Madame, on m’a chargĂ© aussi de vous dire un mot qui presse. Araminte. De quoi s’agit-il ? Dubois. Il m’est recommandĂ© de ne vous parler qu’en particulier. Araminte, Ă  Dorante. Je n’ai point achevĂ© ce que je voulais vous dire. Laissez-moi, je vous prie, un moment ; et revenez. ScĂšne XIV ARAMINTE, DUBOIS. Araminte. Qu’est-ce que c’est donc que cet air Ă©tonnĂ© que tu as marquĂ©, ce me semble, en voyant Dorante ? D’oĂč vient cette attention Ă  le regarder ? Dubois. Ce n’est rien, sinon que je ne saurais plus avoir l’honneur de servir madame, et qu’il faut que je lui demande mon congĂ©. Araminte, surprise. Quoi ! seulement pour avoir vu Dorante ici ? Dubois. Savez-vous Ă  qui vous avez affaire ? Araminte. Au neveu de M. Remy, mon procureur. Dubois. Eh ! par quel tour d’adresse est-il connu de madame ? comment a-t-il fait pour arriver jusqu’ici ? Araminte. C’est M. Remy qui me l’a envoyĂ© pour intendant. Dubois. Lui, votre intendant ! Et c’est M. Remy qui vous l’envoie ? HĂ©las ! le bon homme, il ne sait pas qui il vous donne ; c’est un dĂ©mon que ce garçon-lĂ . Araminte. Mais, que signifient tes exclamations ? Explique-toi ; est-ce que tu le connais ? Dubois. Si je le connais, madame ! si je le connais ! Ah ! vraiment oui ; et il me connaĂźt bien aussi. N’avez-vous pas vu comme il se dĂ©tournait, de peur que je ne le visse ? Araminte. Il est vrai, et tu me surprends Ă  mon tour. Serait-il capable de quelque mauvaise action, que tu saches ? Est-ce que ce n’est pas un honnĂȘte homme ? Dubois. Lui ! Il n’y a point de plus brave homme dans toute la terre, il a peut-ĂȘtre plus d’honneur Ă  lui tout seul que cinquante honnĂȘtes gens ensemble. Oh ! c’est une probitĂ© merveilleuse ; il n’a peut-ĂȘtre pas son pareil. Araminte. Eh ! de quoi peut-il donc ĂȘtre question ? D’oĂč vient que tu m’alarmes ? En vĂ©ritĂ©, j’en suis toute Ă©mue. Dubois. Son dĂ©faut, c’est lĂ . Il se touche le front. C’est Ă  la tĂȘte que le mal le tient. Araminte. À la tĂȘte ? Dubois. Oui ; il est timbrĂ©, mais timbrĂ© comme cent. Araminte. Dorante ! il m’a paru de trĂšs bon sens. Quelle preuve as-tu de sa folie ? Dubois. Quelle preuve ? Il y a six mois qu’il est tombĂ© fou, qu’il en a la cervelle brĂ»lĂ©e, qu’il en est comme un perdu. Je dois bien le savoir, car j’étais Ă  lui, je le servais ; et c’est ce qui m’a obligĂ© de le quitter ; et c’est ce qui me force de m’en aller encore ĂŽtez cela, c’est un homme incomparable. Araminte, un peu boudant. Oh bien ! il fera ce qu’il voudra ; mais je ne le garderai pas. On a bien affaire d’un esprit renversĂ© ; et peut-ĂȘtre encore, je gage, pour quelque objet qui n’en vaut pas la peine ; car les hommes ont des fantaisies !
 Dubois. Ah ! vous m’excuserez. Pour ce qui est de l’objet, il n’y a rien Ă  dire. Malepeste ! sa folie est de bon goĂ»t. Araminte. N’importe ; je veux le congĂ©dier. Est-ce que tu la connais, cette personne ? Dubois. J’ai l’honneur de la voir tous les jours ; c’est vous, madame. Araminte. Moi, dis-tu ? Dubois. Il vous adore ; il y a six mois qu’il n’en vit point, qu’il donnerait sa vie pour avoir le plaisir de vous contempler un instant. Vous avez dĂ» voir qu’il a l’air enchantĂ©, quand il vous parle. Araminte. Il y a bien, en effet, quelque petite chose qui m’a paru extraordinaire. Eh ! juste ciel ! le pauvre garçon, de quoi s’avise-t-il ? Dubois. Vous ne croiriez pas jusqu’oĂč va sa dĂ©mence ; elle le ruine, elle lui coupe la gorge. Il est bien fait, d’une figure passable, bien Ă©levĂ© et de bonne famille ; mais il n’est pas riche ; et vous saurez qu’il n’a tenu qu’à lui d’épouser des femmes qui l’étaient, et de fort aimables, ma foi, qui offraient de lui faire sa fortune, et qui auraient mĂ©ritĂ© qu’on la leur fĂźt Ă  elles-mĂȘmes. Il y en a une qui n’en saurait revenir, et qui le poursuit encore tous les jours. Je le sais, car je l’ai rencontrĂ©e. Araminte, avec nĂ©gligence. Actuellement ? Dubois. Oui, madame, actuellement ; une grande brune trĂšs piquante, et qu’il fuit. Il n’y a pas moyen ; monsieur refuse tout. Je les tromperais, me disait-il ; je ne puis les aimer, mon cƓur est parti. » Ce qu’il disait quelquefois la larme Ă  l’Ɠil ; car il sent bien son tort. Araminte. Cela est fĂącheux ; mais oĂč m’a-t-il vue avant de venir chez moi, Dubois ? Dubois. HĂ©las ! madame, ce fut un jour que vous sortĂźtes de l’OpĂ©ra, qu’il perdit la raison. C’était un vendredi, je m’en ressouviens ; oui, un vendredi ; il vous vit descendre l’escalier, Ă  ce qu’il me raconta, et vous suivit jusqu’à votre carrosse. Il avait demandĂ© votre nom, et je le trouvai qui Ă©tait comme extasiĂ© ; il ne remuait plus. Araminte. Quelle aventure ! Dubois. J’eus beau lui crier Monsieur ! » Point de nouvelles, il n’y avait personne au logis. À la fin, pourtant, il revint Ă  lui avec un air Ă©garĂ© ; je le jetai dans une voiture, et nous retournĂąmes Ă  la maison. J’espĂ©rais que cela se passerait ; car je l’aimais c’est le meilleur maĂźtre ! Point du tout, il n’y avait plus de ressource. Ce bon sens, cet esprit jovial, cette humeur charmante, vous aviez tout expĂ©diĂ© ; et dĂšs le lendemain nous ne fĂźmes plus tous deux, lui, que rĂȘver Ă  vous, que vous aimer ; moi, qu’épier depuis le matin jusqu’au soir oĂč vous alliez. Araminte. Tu m’étonnes Ă  un point !
 Dubois. Je me fis mĂȘme ami d’un de vos gens qui n’y est plus, un garçon fort exact, qui m’instruisait, et Ă  qui je payais bouteille. C’est Ă  la ComĂ©die qu’on va », me disait-il ; et je courais faire mon rapport, sur lequel, dĂšs quatre heures, mon homme Ă©tait Ă  la porte. C’est chez madame celle-ci, c’est chez madame celle-lĂ  ; et, sur cet avis, nous allions toute la soirĂ©e habiter la rue, ne vous dĂ©plaise, pour voir madame entrer et sortir, lui dans un fiacre, et moi derriĂšre, tous deux morfondus et gelĂ©s, car c’était dans l’hiver ; lui ne s’en souciant guĂšre, moi jurant par-ci par-lĂ  pour me soulager. Araminte. Est-il possible ? Dubois. Oui, madame. À la fin, ce train de vie m’ennuya ; ma santĂ© s’altĂ©rait, la sienne aussi. Je lui fis accroire que vous Ă©tiez Ă  la campagne ; il le crut, et j’eus quelque repos. Mais n’alla-t-il pas, deux jours aprĂšs, vous rencontrer aux Tuileries, oĂč il avait Ă©tĂ© s’attrister de votre absence ! Au retour, il Ă©tait furieux ; il voulut me battre, tout bon qu’il est ; moi, je ne le voulus point, et je le quittai. Mon bonheur ensuite m’a mis chez madame, oĂč, Ă  force de se dĂ©mener, je le trouve parvenu Ă  votre intendance ; ce qu’il ne troquerait pas contre la place de l’empereur. Araminte. Y a-t-il rien de si particulier ? Je suis si lasse d’avoir des gens qui me trompent, que je me rĂ©jouissais de l’avoir parce qu’il a de la probitĂ©. Ce n’est pas que je sois fĂąchĂ©e ; car je suis bien au-dessus de cela. Dubois. Il y aura de la bontĂ© Ă  le renvoyer. Plus il voit madame, plus il s’achĂšve. Araminte. Vraiment, je le renverrais bien ; mais ce n’est pas lĂ  ce qui le guĂ©rira. Je ne sais que dire Ă  M. Remy qui me l’a recommandĂ©, et ceci m’embarrasse. Je ne vois pas trop comment m’en dĂ©faire honnĂȘtement. Dubois. Oui ; mais vous ferez un incurable, madame. Araminte, vivement. Oh ! tant pis pour lui ; je suis dans des circonstances oĂč je ne saurais me passer d’un intendant. Et puis, il n’y a pas tant de risque que tu le crois. Au contraire, s’il y avait quelque chose qui pĂ»t ramener cet homme, c’est l’habitude de me voir plus qu’il n’a fait ; ce serait mĂȘme un service Ă  lui rendre. Dubois. Oui ; c’est un remĂšde bien innocent. PremiĂšrement, il ne vous dira mot ; jamais vous n’entendrez parler de son amour. Araminte. En es-tu bien sĂ»r ? Dubois. Oh ! il ne faut pas en avoir peur ; il mourrait plutĂŽt. Il a un respect, une adoration, une humilitĂ© pour vous, qui n’est pas concevable. Est-ce que vous croyez qu’il songe Ă  ĂȘtre aimĂ© ? Nullement. Il dit que dans l’univers il n’y a personne qui le mĂ©rite ; il ne veut que vous voir, vous considĂ©rer, regarder vos yeux, vos grĂąces, votre belle taille ; et puis c’est tout. Il me l’a dit mille fois. Araminte, haussant les Ă©paules. VoilĂ  qui est bien digne de compassion ! Allons, je patienterai quelques jours, en attendant que j’en aie un autre. Au surplus, ne crains rien ; je suis contente de toi. Je rĂ©compenserai ton zĂšle et je ne veux pas que tu me quittes, entends-tu, Dubois ? Dubois. Madame, je vous suis dĂ©vouĂ© pour la vie. Araminte. J’aurai soin de toi. Surtout qu’il ne sache pas que je suis instruite ; garde un profond secret ; et que tout le monde, jusqu’à Marton, ignore ce que tu m’as dit. Ce sont de ces choses qui ne doivent jamais percer. Dubois. Je n’en ai jamais parlĂ© qu’à madame. Araminte. Le voici qui revient ; va-t’en. ScĂšne XV DORANTE, ARAMINTE. Araminte, un moment seule. La vĂ©ritĂ© est que voici une confidence dont je me serais bien passĂ©e moi-mĂȘme. Dorante. Madame, je me rends Ă  vos ordres. Araminte. Oui, monsieur ; de quoi vous parlais-je ? Je l’ai oubliĂ©. Dorante. D’un procĂšs avec M. le comte Dorimont. Araminte. Je me remets ; je vous disais qu’on veut nous marier. Dorante. Oui, madame ; et vous alliez, je crois, ajouter que vous n’étiez pas portĂ©e Ă  ce mariage. Araminte. Il est vrai. J’avais envie de vous charger d’examiner l’affaire afin de savoir si je ne risquerais rien Ă  plaider ; mais je crois devoir vous dispenser de ce travail ; je ne suis pas sĂ»re de pouvoir vous garder. Dorante. Ah ! madame, vous avez eu la bontĂ© de me rassurer lĂ -dessus. Araminte. Oui ; je ne faisais pas rĂ©flexion que j’ai promis Ă  monsieur le comte de prendre un intendant de sa main. Vous voyez bien qu’il ne serait pas honnĂȘte de manquer Ă  sa parole, et du moins faut-il que je parle Ă  celui qu’il m’amĂšnera. Dorante. Je ne suis pas heureux ; rien ne me rĂ©ussit, et j’aurai la douleur d’ĂȘtre renvoyĂ©. Araminte. Je ne dis pas cela ; il n’y a rien de rĂ©solu lĂ -dessus. Dorante. Ne me laissez point dans l’incertitude oĂč je suis, madame. Araminte. Eh ! mais, oui, je tĂącherai que vous restiez ; je tĂącherai. Dorante. Vous m’ordonnez donc de vous rendre compte de l’affaire en question ? Araminte. Attendons ; si j’allais Ă©pouser le Comte, vous auriez pris une peine inutile. Dorante. Je croyais avoir entendu dire Ă  madame qu’elle n’avait point de penchant pour lui. Araminte. Pas encore. Dorante. Et d’ailleurs, votre situation est si tranquille et si douce ! Araminte, Ă  part. Je n’ai pas le courage de l’affliger !
 Eh bien, oui-da, examinez toujours, examinez. J’ai des papiers dans mon cabinet, je vais les chercher. Vous viendrez les prendre, et je vous les donnerai. En s’en allant. Je n’oserais presque le regarder. ScĂšne XVI DORANTE, DUBOIS, venant d’un air mystĂ©rieux et comme passant. Dubois. Marton vous cherche pour vous montrer l’appartement qu’on vous destine. Arlequin est allĂ© boire. J’ai dit que j’allais vous avertir. Comment vous traite-t-on ? Dorante. Qu’elle est aimable ! Je suis enchantĂ© ! De quelle façon a-t-elle reçu ce que tu lui as dit ? Dubois, comme en fuyant. Elle opine tout doucement Ă  vous garder par compassion ; elle espĂšre vous guĂ©rir par l’habitude de la voir. Dorante, charmĂ©. SincĂšrement ? Dubois. Elle n’en rĂ©chappera point ; c’est autant de pris. Je m’en retourne. Dorante. Reste, au contraire. Je crois que voici Marton. Dis-lui que madame m’attend pour me remettre des papiers, et que j’irai la trouver dĂšs que je les aurai. Dubois. Partez ; aussi bien ai-je un petit avis Ă  donner Ă  Marton. Il est bon de jeter dans tous les esprits les soupçons dont nous avons besoin. ScĂšne XVII DUBOIS, MARTON. Marton. OĂč est donc Dorante ? il me semble l’avoir vu avec toi. Dubois, brusquement. Il dit que Madame l’attend pour des papiers ; il reviendra ensuite. Au reste, qu’est-il nĂ©cessaire qu’il voie cet appartement ? S’il n’en voulait pas, il serait bien dĂ©licat. Pardi, je lui conseillerais
 Marton. Ce ne sont pas lĂ  tes affaires je suis les ordres de madame. Dubois. Madame est bonne et sage ; mais prenez garde, ne trouvez-vous pas que ce petit galant-lĂ  fait les yeux doux ? Marton. Il les fait comme il les a. Dubois. Je me trompe fort, si je n’ai pas vu la mine de ce freluquet considĂ©rer, je ne sais oĂč, celle de madame. Marton. Eh bien, est-ce qu’on te fĂąche, quand on la trouve belle ? Dubois. Non. Mais je me figure quelquefois qu’il n’est venu ici que pour la voir de plus prĂšs. Marton, riant. Ah ! ah ! quelle idĂ©e ! Va, tu n’y entends rien ; tu t’y connais mal. Dubois, riant. Ah ! ah ! je suis donc bien sot ! Marton, riant en s’en allant. Ah ! ah ! l’original avec ses observations ! Dubois, seul. Allez, allez, prenez toujours. J’aurai soin de vous les faire trouver meilleures. Allons faire jouer toutes nos batteries.
7 "Si j'ai envie de parler Ă  quelqu'un quand je suis dĂ©primĂ©, ce n'est pas pour qu'on s'occupe de moi mais pour qu'on me dise que je ne suis pas seule." — Tina B. 8. "Je n'aime pas les
Ce que les pionniers de l’AĂ©ropostale ont encore Ă  nous apprendre. Ce que j’ai fait, je le jure, jamais aucune bĂȘte ne l’aurait fait ». Une vie hors norme, un courage inouĂŻ et une fureur de vivre comme on en voit qu’une fois par siĂšcle, voilĂ  de quoi sont fait les hĂ©ros comme Guillaumet. Quand on est un enfant de l’aĂ©ropostale, les neiges des Andes qui engloutissent la carcasse de votre avion chargĂ© de courrier ne sont pas une raison suffisante pour le et portrait littĂ©raireDe ce gaillard qu’était le bon Henri Guillaumet, on ne garde presque aucune trace Ă©crite. Quelques correspondances, des interviews, quelques phrases que la postĂ©ritĂ© a figĂ©es pour enseigner dans les Ă©coles, mais pas d’ouvrages autobiographique. Peut ĂȘtre avait-il trop Ă  vivre pour prendre le temps de l’écrire. Et puis, lorsque votre ami le plus fidĂšle se nomme Saint-ExupĂ©ry, vos exploits seront, il le savait bien, contĂ©s avec le talent nĂ©cessaire Ă  la narration d’un tel exploit. Le rĂ©cit de cette Ă©popĂ©e, de cette rage de survivre, on le trouve dans Terre des Hommes une lutte longue et douloureuse dans la tempĂȘte, puis la mĂȘme lutte encore, pour survivre au sol puisque les secours ne le retrouveraient sans doute pas de si tĂŽt dans les intempĂ©ries. Et puis le miracle on le retrouve. Alors que les locaux rĂ©pĂ©taient comme un proverbe que les Andes, en hiver, ne rendent point les hommes ». Guillaumet lui, les a dĂ©fiĂ©es. Et c’est Saint-ExupĂ©ry qui viendra le chercher Et lorsque, de nouveau, je me glissais entre les murs et les piliers gĂ©ants des Andes, il me semblait, non plus te rechercher, mais veiller ton corps, en silence, dans une cathĂ©drale de neige. Enfin, au cours du septiĂšme jour, tandis que je dĂ©jeunais entre deux traversĂ©es, dans un restaurant de Mendoza, un homme poussa la porte et cria, oh ! Peu de chose – Guillaumet
vivant !
Ce fut une belle rencontre, nous pleurions tous, et nous t’écrasions dans nos bras, vivant, ressuscitĂ©, auteur de ton propre miracle. C’est alors que tu exprimas, et ce fut ta premiĂšre phrase intelligible, un admirable orgueil d’homme Ce que j’ai fait, je te le jure, jamais aucune bĂȘte ne l’aurait fait. » Plus tard tu nous racontas l’accident. » dans Terre des de l’existenceTirer la leçon que l’homme au destin immense nous lĂ©gua n’est pas bien ardu l’homme est une bĂȘte aux limites encore jamais vraiment dĂ©couvertes. Entendez bien ici les limites du corps, car en ce qui concerne l’ñme, elle ne semble pas en avoir. Plus elles s’étendent, plus celles du corps suivent, par orgueil peut-ĂȘtre, par folie sans doute. Mais la folie du courage est tellement plus belle que la raison du confort Dans la neige, dit-il Ă  Saint-ExupĂ©ry, on perd tout instinct de conservation. On ne souhaite plus que le sommeil ». Et pourtant. Lorsque son ami le retrouve, ils sont pris en photo. Guillaumet, rompu, gelĂ©, se rĂ©chauffe sous l’accolade bienveillante de son biographe, comme un Petit n’a pas Ă©cris lui-mĂȘme, s’il n’a pas laissĂ© de correspondances grandioses ou de journal intime en guise de testament, il est devenu hĂ©ros littĂ©raire en incarnant les mots du vieil Antoine il est l’homme qui, se dĂ©passant, contribue Ă  bĂątir le monde ». S’il fallait dĂ©finir, comme nous l’avons fait pour ses collĂšgues dans nos prĂ©cĂ©dents papiers, l’orientation spirituelle de Guillaumet, on dirait simplement qu’il avait foi en l’homme, en son statut de maĂźtre de la crĂ©ation. Et pour gagner, nous aussi, cette noblesse qui lui fut imposĂ©e par le destin, il nous laisse un bon mot, un conseil de vieil oncle Ce qui sauve, c’est de faire un pas. Encore un pas. C’est toujours le mĂȘme pas que l’on recommence. »Lire aussi le prĂ©cĂ©dent article de la sĂ©rie sur Jean Mermoz, l’archange de l’aventure.

Jene sais pas trop ce que je faisais, mais j’avais bien du plaisir 🌈đŸŽč ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ High on sugar? đŸ­đŸ§đŸ€·đŸŒâ€â™€ïž ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ 📾: @ml_shoot ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ #

Je serai, je ferai, j'irai, je saurai, je verrai, je dirai serais, je ferais, j'irais, je saurais, je verrais, je dirais etc.?Ce sont deux temps diffĂ©rents, comme vous le savez. Le premier est le futur simple, le second est le conditionnel prĂ©sent. Le premier, c'est "je ferai, tu feras, il fera, nous ferons, vous ferez, ils feront", le second c'est "je ferais, tu ferais, il ferait, nous ferions, vous feriez, ils feraient".Ce sont deux choses totalement sĂ»r, tout le monde comprend la diffĂ©rence de sens entre les deux. Ce n'est pas la peine de la rappeler ici. Mais certains continuent Ă  oublier lequel des deux voit un "s" Ă  la premiĂšre personne du singulier. Et cette confusion continue d'envahir l'Internet peut proposer un moyen mnĂ©motechnique, pour ceux qui veulent vraiment essayer de ne plus faire l'erreur. En voici un qui vaut ce qu'il vaut le mot "futur" est plus court que le mot "conditionnel". Et "ferai" sans "s" est plus court que "ferais" avec un "s". Donc "ferai", c'est le futur, et "ferais", c'est le conditionnel. Facile, non ?Evidemment, Ă  vous de savoir si vous parlez au futur donc de ce qui se passera dans le... futur ou au conditionnel donc ce qui se passerait si....Il existe aussi un autre moyen, trĂšs efficace bien apprendre, mais vraiment bien apprendre, ses y arrive trĂšs bien. Petite remarque en principe, -ai" se prononce "Ă©", et "-ais" se prononce "Ăš"...Autre remarque "je voudrais", c'est "-ais". Ce conditionnel sert Ă  Ă©viter de dire "je veux", moins poli. Bien sĂ»r, "je voudrai" existe. C'est "je veux" au futur "aujourd'hui, je ne veux pas aller au cinĂ©ma, mais peut-ĂȘtre que demain je voudrai y aller." Jene serai qu'un oiseau au-delĂ  du rĂ©veil Je ne serai que de trop au-delĂ  du rĂ©el Je ne serai qu'un oiseau au-delĂ  du rĂ©veil Je ne serai que de trop au-delĂ  du rĂ©el Je ne serai qu'un oiseau au-delĂ  du rĂ©veil Je ne serai que de trop au-delĂ  du rĂ©el C'Ă©tait Ă  Paris il Ă©tait dĂ©jĂ  tard Peut-ĂȘtre Ă  minuit dans une citĂ© dortoir Le lieu, le moment Ă  vrai dire ne comptent pas Ce Et ceux-lĂ , tu n’y peux pas grand chose. Getty Images/iStockphoto Ces 10 signes ne trompent pas, vous avez bien 50 ans. Getty Images/iStockphoto Depuis tout ce temps que j’écris des chroniques sur la cinquantaine, on a appris tout un tas de choses Ă  son sujet. Pourtant, mĂȘme si tu fais trĂšs attention Ă  ta ligne, que tous les matins tu fais de la gym faciale devant ton miroir et que tous les soirs tu t’adonnes au Pilates ou au yoga pour renforcer tes muscles profonds, mĂȘme si tu cours tous les week-ends pour garder un corps de rĂȘve, il y a des signes qui ne trompent pas au sujet de ton Ăąge. Et ceux-lĂ , tu n’y peux pas grand chose. Ton prĂ©nom En fait, surtout le mien si tu veux mon avis. Le prĂ©nom est le premier signe chronologique qui trahit notre annĂ©e de naissance et je suis l’heureuse propriĂ©taire du prĂ©nom le plus donnĂ© en 1968. 28588 autres Nathalie sont nĂ©es la mĂȘme annĂ©e que moi. Je ne sais absolument pas ce qui a pris leurs parents ni les miens de leur donner le mĂȘme prĂ©nom que celui de la fille de la voisine, de la boulangĂšre, ou de la secrĂ©taire de mairie. Est-ce la chanson de Gilbert BĂ©caud sortie en 1964? La beautĂ© de Natalie Wood? Je ne sais pas. Peut-ĂȘtre ont-ils pensĂ© que ce serait cool d’avoir 4 Nathalie en CP, qu’on se tiendrait chaud sur les bancs du collĂšge, et que nos mecs, s’ils Ă©taient infidĂšles au lycĂ©e, auraient toujours la possibilitĂ© de sortir avec plusieurs Nathalie et l’opportunitĂ© de ne pas se tromper de prĂ©nom. Si tu t’appelles ValĂ©rie, tu n’es pas loin derriĂšre moi 21771 idem pour les Isabelle 20480 et si en plus tu as Ă©pousĂ© un Christophe, un Laurent ou un Philippe vous ĂȘtes Ă  la pointe de la mode de 1968. Patrick? Non, il arrive en 23Ăšme position. Ado, j’ai bien tentĂ© de bidouiller mon prĂ©nom en enlevant le h Natalie en mettant un y Nathaly en mixant les 2 Nataly mais ça faisait trop penser Ă  une marque de puĂ©riculture. J’ai donc renoncĂ©, non sans maudire l’absence d’originalitĂ© de mes parents. Il faudra attendre 1973 pour que Nathalie soit dĂ©trĂŽnĂ© par Sandrine. Ta fratrie et tes parents En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, et tout au moins ӈ notre Ă©poque” nos parents attendaient rarement d’avoir 40 ans pour avoir des enfants et la plupart du temps ils faisaient un tir groupĂ©. La fratrie naissait Ă  deux ans d’intervalle. De plus si ta mĂšre s’appelle Jacqueline, Liliane ou Monique, ça donne quelques indices de son Ăąge et donc, par collatĂ©ralitĂ©, du tien. Si tes frĂšres s’appellent SĂ©bastien ou Virginie, pif paf pouf ils ont cinq ans de moins que toi. Si tu t’appelles Rose, tu n’as rien Ă  faire ici, file dans ta chambre! Ton heure viendra... L’ñge de tes enfants Tes enfants, les joyaux de ta vie, dont tu rebats les oreilles de tes amies Ă  longueur de journĂ©e ont un Ăąge aussi. “Et ta fille ainĂ©e, elle a quel Ăąge?” Tu ne penses mĂȘme pas Ă  tricher sur l’ñge de ta progĂ©niture, non, ça ne te vient pas Ă  l’idĂ©e, alors tu rĂ©ponds “27 ans”. Les rouages du cerveau de ton interlocuteur se mettent en route, les calculs se font dans le secret. Ah oui, je t’avais bien dit qu’elle avait au moins cinquante ans! La couleur de tes pantalons J’ai dans l’idĂ©e que seules les femmes de plus de cinquante ans portent sans aucune crainte un pantalon blanc. C’est comme ça, vous ne me l’îterez pas de l’esprit et ce n’est pas l’arrivĂ©e de Mirena il y a une quinzaine d’annĂ©es qui m’a fait changer d’idĂ©e. La longueur de tes bras Je ne sais pas vous, mais les miens ont tendance Ă  s’allonger, en ce moment, quand il s’agit de lire. C’est trĂšs rĂ©cent, et ça m’est arrivĂ© d’un coup d’un seul. La veille, tout allait bien, le lendemain matin j’ai commencĂ© Ă  prendre des centimĂštres au niveau des bras. Bien que je rechigne Ă  aller consulter, je sens que je ne vais pas pouvoir y couper trĂšs longtemps. Tout le monde me dit que c’est trĂšs Ă©lĂ©gant les lunettes, qu’il y en a de forts jolies et que de toutes façons, ça m’ira parfaitement. Mais comment vais-je faire pour lire le menu d’un grand restaurant sans lunettes? ChĂ©richĂ©ri me dit “Tu veux tricher pour qui, je connais parfaitement ton Ăąge”. Ah, oui, c’est vrai! Le goĂ»t pour certaines chansons et leurs paroles On en a dĂ©jĂ  parlĂ© toi et moi, plusieurs fois mĂȘme, il y a des chansons ringardes mais dont on connait les paroles par coeur, ces mĂȘmes chansons qu’on ne peut s’empĂȘcher de chanter Ă  tue-tĂȘte, tout en gesticulant. Pour moi ce sont celles-lĂ  j’avais 18 ans ou celle-lĂ , Et pour toi? Et surtout les chansons en anglais Le pire ce sont les chansons en anglais que je chante dans un yaourt sans nom alors que mes gosses connaissent les paroles in the text de leurs artistes prĂ©fĂ©rĂ©s. Oui, le quinqua français en rĂšgle gĂ©nĂ©rale n’est pas douĂ© pour parler la langue de Shakespeare. Moi par exemple je le parle trĂšs bien au Vietnam. Allez comprendre. Ta façon d’écrire des SMS Ce n’est que trĂšs rĂ©cemment genre il y a six mois que j’ai enfin rĂ©ussi Ă  faire fonctionner mes deux pouces. Jusque lĂ , cela m’était impossible, seul mon index droit s’évertuait Ă  taper. C’était trĂšs long ok, c’est encore trĂšs long Les photographies rangĂ©es dans de grands albums Toute personne de plus de quarante ans possĂšde chez elle de grands albums photo, le pourcentage est encore augmentĂ© pour les cinquantenaires. En dessous de cet Ăąge, ils ont un nuage dans lequel ils glissent leurs photos prĂ©fĂ©rĂ©es. Ton clignotant Si tu as passĂ© ton permis avant la fin des annĂ©es 90, il y a de fortes chances pour que, sur l’autoroute, quand tu l’enclenches, tu le laisses tout le temps oĂč tu doubles. Et les moins de 50 ans? Non, eux ils le mettent juste pour dĂ©boiter. Et ils l’enlĂšvent tout de suite aprĂšs. Allez, sans rancune! Ed. libranova Ed. libranova Nathalie Longevial - Parce qu'une vie ne suffit pas - Ed. Libranova Ă  paraĂźtre le 11 mai 2018 À voir Ă©galement sur Le HuffPost
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Actionqui sera en train de se dĂ©rouler au moment de l'avenir Pour annoncer un projet qui a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Pour demander poliment Ă  quelqu'un ce qu'il a dĂ©cidĂ© de faire. At five o'clock tomorrow I'll be playing football.Demain Ă  5 heures, je serai en train de jouer au football.
Ah les femmes
 ces ĂȘtres si attachants
 Ces femmes fortes et fragiles Ă  la fois qui ont la patience de nous supporter, nous, les hommes. La seule chose que l’on pourrait reprocher aux femmes, c’est de dire le contraire de ce qu’elles pensent, contrairement aux hommes qui ne disent pas du tout ce qu’ils pensent 😉 C’est vrai qu’on a du mal Ă  se comprendre entre hommes et femmes. On a ce petit problĂšme de communication qui rend certaines situations plus compliquĂ©es qu’elles ne devraient ĂȘtre. Alors pour vous aider Ă  mieux communiquer et Ă  comprendre les femmes, voici 20 phrases que peuvent prononcer les femmes et leur interprĂ©tation qui vous permettra de saisir ce qu’elles pensent vraiment
 Ce qui suit a Ă©tĂ© repris de l’article Ce que disent les femmes VS ce qu’elles pensent vraiment » du site MinuteBuzz. Ce n’est donc pas un contenu original mais je les trouve si amusantes et vĂ©cues pour certaines que je n’ai pu m’empĂȘcher de les reprendre 🙂 Quand une femme vous dit tu ne veux pas aller lĂ -bas ce week-end ? Cela signifie on va lĂ -bas ! Quand une femme vous dit Fais ce que tu veux
 Cela signifie Ne t’avise surtout pas de faire ça ! Quand une femme vous dit Oui Cela signifie Non Quand une femme vous dit Non Cela signifie Non ! Quand une femme vous dit Peut-ĂȘtre Cela signifie Non Quand une femme vous dit On a besoin de
 Cela signifie J’ai envie de
 Quand une femme vous dit Il faut qu’on parle Cela signifie Tu vas prendre cher ! Quand une femme vous dit Tu vas porter ça ce soir ? Cela signifie Change toi immĂ©diatement ! Quand une femme vous dit J’adore ces chaussures Cela signifie Offre-moi ces chaussures Quand une femme vous dit Oui, oui, 5 minutes
 Cela signifie Tu as le temps de faire une sieste. Quand une femme vous dit T’es oĂč ? Cela signifie Rentre ! Quand une femme vous dit Ah tu as une nouvelle amie sur Facebook ? Cela signifie C’est qui celle-lĂ  ? Quand une femme vous dit ok
 Cela signifie Je m’en fous. Quand une femme vous dit Je suis fatiguĂ©e. Cela signifie Fais-le Ă  ma place. Quand une femme vous dit J’ai froid Cela signifie File-moi ton manteau Quand une femme vous dit Je prĂ©fĂšre qu’on reste amis Cela signifie T’es trop moche Quand une femme vous dit Tu trouves que j’ai grossi ? Cela signifie Ne dis pas que j’ai grossi ! Quand une femme vous dit Non, je ne fais pas la gueule Cela signifie Je fais la gueule Quand une femme vous dit Mais si, ça va
 Cela signifie Non, ça ne va pas ! Hier TF1 a annoncĂ© officiellement que c'est Nikos Aliagas EXCLU: Nikos: "Je ne sais pas si je serai seul ou pas Ă  la prĂ©sentation de the Voice" | Jean-Marc Morandini Aller au contenu principal

Quoi dire quand une fille te dit des trucs embarassants? Quand on commence dans le monde des rencontres, c’est pas toujours facile de comprendre les intentions d’une fille quand elle te parle. Pas toujours facile de savoir comment rĂ©pondre Ă  une femme! Il va avoir des situations oĂč la fille va te faire des commentaires ou te poser des questions qui vont un peu te mettre dans le trouble. Tu ne sauras pas toujours quoi rĂ©pondre et ces hĂ©sitations-lĂ , tu le sais que c’est pas trĂšs sĂ©duisant pour la fille! Aujourd’hui, je te montre quoi dire quand une fille te dit des trucs embarassant avec une phrase simple Ă  rĂ©pondre dans ces situations-lĂ . HĂ©siter avec les filles, ça tue l’attirance La plupart du temps, quand la fille te parle, tu essais de saisir la façon qu’elle te perçoit et c’est normal. Tu le sais que la façon que tu vas lui rĂ©pondre, ça va affecter la perception qu’elle de toi. C’est ce qui explique pourquoi tu bloques Ă  esssayer trouver la meilleure rĂ©ponse » Ă  lui donner. Tu veux bien paraĂźtre Ă  ses yeux et c’est EXACTEMENT ton problĂšme. Si tu hĂ©sites avec une fille, ça va tuer tes chances avec elle. Pourquoi? Parce qu’une fille veut d’un gars qui est solide dans ses valeurs. Elle veut un gars dans sa vie qui n’a pas honte de ce qu’il pense, fait ou dit. C’est super important. La phrase, c’est quoi? La phrase que je veux te donner c’est Qu’est-ce que tu veux dire par ça? » Ce que je te donne aujourd’hui, c’est une façon de dĂ©sarmorcer les tests qu’une fille peut te faire. Au lieu de te mettre dans un mode de te dire C’est quoi je devrais rĂ©pondre pour avoir la meilleure rĂ©plique? », tu te mets dans un mode oĂč tu penses Je veux comprendre pourquoi elle vient de me dire ça ». L’importance de clarifier le message et les intentions de la fille AVANT d’ouvrir sa bouche Avec cette phrase-lĂ , tu permets Ă  la fille de s’expliquer. Avec ce qu’elle te dit, tu vas avoir plus d’indices pour mieux lui rĂ©pondre. C’est important de ne pas essayer de rĂ©pondre Ă  des questions qui n’ont pas encore Ă©tĂ© posĂ©es! DeuxiĂšmement, c’est peut-ĂȘtre inconscient ce qu’elle t’as dit. Ce que je veux dire par ça, c’est qu’elle n’est peut-ĂȘtre pas en train de te tester ou de te juger. Elle a peut-ĂȘtre juste dit ce commentaire-lĂ  par hasard. En lui demandant qu’est-ce que tu veux dire par ça », ça se peut que tu rĂ©alises que ce n’était mĂȘme pas blessant dans sa tĂȘte ou ce n’était pas vraiment important pour elle en fin de compte. Exemple 1 – Quoi rĂ©pondre quand une fille te dit Tu dois dire ça Ă  toutes les filles! »? Par exemple, quand une fille te dit Tu dois dire ça Ă  toutes les filles!» Dans le moment, tu ne sais pas trop comment rĂ©pondre. C’est un test que la fille te fait et c’est fort probablement insconcient. Alors, Tu lui rĂ©ponds Qu’est-ce que tu veux dire par ça? » Et lĂ , elle te dit C’est trop bien dit, tu dois dire ça Ă  toutes les filles » Et voilĂ . Elle vient de te donner la rĂ©ponse. Tu n’avais pas besoin de rĂ©pondre par un oui ou un non. Ça change rien de toute façon Ă  son idĂ©e! Si elle croit que tu lui a dit une ligne
 on s’en fout! Tu n’as qu’à lui montrer que toi tu es positif face Ă  ça. Alors, tu lui fais un sourire et tu lui rĂ©ponds Merci ». Cette façon-lĂ  d’agir avec les filles, c’est bien plus simple que d’essayer de trouver la meilleure rĂ©plique pour la remettre Ă  sa place ». Il ne faut pas toujours chercher Ă  aller dans un mode oĂč t’es en confrontation avec la fille. Exemple 2 – Quoi rĂ©pondre quand une fille te dit Qu’est-ce que tu recherches ici? » Par exemple, quand une fille te dit Qu’est-ce que tu recherches ici? » C’est une question vague, mais tu sais ce qu’elle veut dire. Souvent, la fille quand elle dit ça, elle veut dire est-ce que tu veux juste du sexe ou veux-tu une relation? » C’est ça qu’elle te demande comme question. Mais toi tu lui rĂ©ponds Qu’est-ce que tu veux dire par ça » Elle rĂ©pond Moi je ne veux pas d’un gars qui veut juste coucher avec moi » Parfait. Elle vient de clarifier les choses. Alors, Toi tu pourras rĂ©pondre Moi aussi je prĂ©fĂšre avoir une connexion avant. » Et voilĂ . Tout est clair maintenant. En plus, tu ne te mets pas dans le trouble, mĂȘme si tu veux principalement du sexe! Tu n’es pas en train de mentir et la fille a la rĂ©ponse qu’elle veut. Quand la communication fonctionne, tu vas crĂ©er une meilleure connexion avec la fille et plus d’attirance. C’est pour ça que selon moi dire qu’est-ce que tu veux dire par ça » c’est extrĂȘmement fort. Alors, hĂ©site pas de demander Qu’est-ce que tu veux dire par ça? » Bonne chance!

Detout cela je ne dis rien. Je reviens Ă  ce qui est l’objet du procĂšs. » Pierre Perret opĂšre une prĂ©tĂ©rition atypique dans sa chanson La louve : « Cette histoire n'est pas pour vous, n'Ă©coutez pas. D'ailleurs, ce que je dis ne vous regarde pas ». La chanson de Jean Jacques Goldman Je ne vous parlerai pas d'elle est une prĂ©tĂ©rition.
Lorsque vous maintenez vos ressentiments envers une autre personne, vous ĂȘtes liĂ© Ă  cette personne ou cette situation, par un lien Ă©motionnel qui est plus fort que l’acier. Pardonner est la seule façon de dissoudre ce lien et atteindre la libertĂ©Catherine PonderJe t’écris cette lettre, mĂȘme si je sais que tu ne la liras jamais. Tu m’as fait du mal, beaucoup de mal. Dans la nature, il n’y a pas de justice et je continue Ă  souffrir. Mais aujourd’hui, j’ai compris que quelque part, je devais arracher en moi le profond chagrin que je ressens et c’est ce que je vais me mĂ©fie de la rancƓur parce que ce n’est pas une bonne amie, c’est pour cela que je ne la veux pas avec moi. En plus, la rancƓur nous mĂšne Ă  ressentir de la peur et c’est prĂ©cisĂ©ment ce que je dois faire disparaĂźtre. Ce n’est pas que j’ai peur de toi, c’est que j’ai peur de revivre ma souffrance et de retomber dans la mĂȘme consĂ©quent, j’ai dĂ©cidĂ© que je devais y faire face, me mettre face Ă  toi et tout ce que tu signifies, et me faire valoir. Si je parviens Ă  rĂ©duire cette peur, je serai capable de rĂ©duire toutes les t’aimais et je te faisais confiance. En fait, je ne demandais rien d’extraordinaire, mais si j’avais su, je n’aurais pas permis que tu me fasses du mal. Je n’oublierais jamais cette douleur insupportable et tout ce que tu m’as appris malgrĂ© tout. Au bout du compte, je dois te remercier pour quelque appris que tu es incapable de donner Ă  quelqu’un quelque chose qu’il ne veut pas recevoir. Tu as eu le luxe de me le faire savoir de maniĂšre trĂšs claire. J’ai Ă©galement appris l’importance de savoir ce qui ne va pas et ce qui te consomme dans ta me suis rendue compte que tu Ă©tais tant nuisible pour moi que tu ne m’as pas laissĂ© avancer pendant le dit le proverbe, la vraie haine est le dĂ©sintĂ©rĂȘt et l’assassinat parfait est l’oubli. Je ne vais pas jeter une pierre vers le haut, car ce qui est probable c’est qu’elle me tombe sur la tĂȘte. Cela ne m’apporterait certainement pas le bonheur, mais au contraire ajouterait de la misĂšre Ă  ma vie sans dit que saigner ne fait pas mal, que c’est plutĂŽt agrĂ©able, comme si tu te dissolvais dans de l’huile et que tu respirais trĂšs profondĂ©ment. Il se passe la mĂȘme chose avec la douleur de l’ñme, car en quelque sorte elle t’anesthĂ©sie et tu n’es pas conscient de ce qui est supposĂ© ĂȘtre bien pour toi, jusqu’à ce qu’il soit trop suis peut-ĂȘtre entrain d’écrire ces lignes avec des larmes de sang et de profonde douleur, mais je suis en train de prendre le commandement et de m’habituer au gouvernail parce qu’il est venu le temps d’aller plus loin et de surmonter ce que tu as provoquĂ© en dois te dire que je t’écris ces mots parce que derriĂšre mon courage, il y a une grande tristesse, une humiliation infinie et une profonde sens que je marche au-dessus d’un volcan tandis que ma vie ne tient qu’à un fil, je dois donc laisser tomber le lourd fardeau que je suis supposĂ©e charger avec ce que tu as occasionnĂ© dans mon ĂȘtre n’ai pas besoin de grand chose pour me sentir bien, mais c’est pour cela que je dois Ă©vacuer toute cette douleur. À partir d’aujourd’hui, je ne te tiens plus aucune rancune, colĂšre ou rage, car je ne veux pas encombrer mon coeur de sentiments inutiles. Toute expĂ©rience douloureuse enferme Ă  l’intĂ©rieur une graine de la croissance et une rĂ©alitĂ©, aujourd’hui, je me suis demandĂ© si je pouvais faire quelque chose de louable, alors j’ai dĂ©cidĂ© d’écrire. Cette lettre n’est pas pour toi, elle est pour moi, parce que je dois libĂ©rer mes Ă©paules de ce ne veux pas quelque chose de nĂ©gatif dans ma vie et je me suis rendue compte que tu Ă©tais lĂ , tout comme la maniĂšre dont tu me fais me suis aperçue que rĂ©flĂ©chir sur toi est le plus grand acte d’amour-propre que je peux mener Ă  bien. Aujourd’hui, je peux dire que tu me rends un grand service, parce que maintenant plus que jamais je m’ sais que je ne veux pas faire de mon corps la tombe de mon Ăąme, que je peux faire face Ă  tout ce qui est en moi. Il ne faut pas avoir peur de vivre parce que tout consiste Ă  de Marc Little et Larissa Kulik
Lepremier, c'est : "je ferai, tu feras, il fera, nous ferons, vous ferez, ils feront", le second c'est : "je ferais, tu ferais, il ferait, nous ferions, vous feriez, ils feraient". Ce sont deux choses totalement Le verbe faire est du troisiĂšme verbe faire se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to do faire au fĂ©minin faire Ă  la voix passive se faire faire ? Retirer la nĂ©gation Imprimer Exporter vers WordPrĂ©sentje ne fais pastu ne fais pasil ne fait pasnous ne faisons pasvous ne faites pasils ne font pasPassĂ© composĂ©je n'ai pas faittu n'as pas faitil n'a pas faitnous n'avons pas faitvous n'avez pas faitils n'ont pas faitImparfaitje ne faisais pastu ne faisais pasil ne faisait pasnous ne faisions pasvous ne faisiez pasils ne faisaient pasPlus-que-parfaitje n'avais pas faittu n'avais pas faitil n'avait pas faitnous n'avions pas faitvous n'aviez pas faitils n'avaient pas faitPassĂ© simpleje ne fis pastu ne fis pasil ne fit pasnous ne fĂźmes pasvous ne fĂźtes pasils ne firent pasPassĂ© antĂ©rieurje n'eus pas faittu n'eus pas faitil n'eut pas faitnous n'eĂ»mes pas faitvous n'eĂ»tes pas faitils n'eurent pas faitFutur simpleje ne ferai pastu ne feras pasil ne fera pasnous ne ferons pasvous ne ferez pasils ne feront pasFutur antĂ©rieurje n'aurai pas faittu n'auras pas faitil n'aura pas faitnous n'aurons pas faitvous n'aurez pas faitils n'auront pas faitPrĂ©sentque je ne fasse pasque tu ne fasses pasqu'il ne fasse pasque nous ne fassions pasque vous ne fassiez pasqu'ils ne fassent pasPassĂ©que je n'aie pas faitque tu n'aies pas faitqu'il n'ait pas faitque nous n'ayons pas faitque vous n'ayez pas faitqu'ils n'aient pas faitImparfaitque je ne fisse pasque tu ne fisses pasqu'il ne fĂźt pasque nous ne fissions pasque vous ne fissiez pasqu'ils ne fissent pasPlus-que-parfaitque je n'eusse pas faitque tu n'eusses pas faitqu'il n'eĂ»t pas faitque nous n'eussions pas faitque vous n'eussiez pas faitqu'ils n'eussent pas faitPrĂ©sentje ne ferais pastu ne ferais pasil ne ferait pasnous ne ferions pasvous ne feriez pasils ne feraient pasPassĂ© premiĂšre formeje n'aurais pas faittu n'aurais pas faitil n'aurait pas faitnous n'aurions pas faitvous n'auriez pas faitils n'auraient pas faitPassĂ© deuxiĂšme formeje n'eusse pas faittu n'eusses pas faitil n'eĂ»t pas faitnous n'eussions pas faitvous n'eussiez pas faitils n'eussent pas faitPrĂ©sentne fais pasne faisons pasne faites pasPassĂ©n'aie pas faitn'ayons pas faitn'ayez pas faitParticipePassĂ©faitfaitefaitsfaitesn'ayant pas faitInfinitifGĂ©rondifRĂšgle du verbe faireMĂȘme si on Ă©crit, nous faisons, on le prononce comme nous fesons. Notez Ă©galement la 2e personne du pluriel vous du verbe faireaffaisser - faire flĂ©chir - boursicoteur - se plier - se tasser - conduire - employer - agissant - agir - entreprendre - procĂ©der - exĂ©cuter - prendre - commettre - constituer - former - crĂ©er - instaurer - Ă©tablir - composer - bĂątir - organiser - Ă©difier - construire - arranger - tuer - fabriquer - produire - manufacturer - usiner - confectionner - Ă©laborer - rĂ©aliser - façonner - modeler - oeuvrer - prĂ©parer - accomplir - effectuer - façon - maniĂšre - style - technique - opĂ©rer - pratiquer - dĂ©coulerDĂ©finition du verbe faire1 CrĂ©er, produire, construire ou fabriquer quelque chose2 Se dit Ă©galement de tout ce qui va s'accomplir3 Signer un Ă©tat des choses ex la voiture fait du 200 Ă  l'heure4 Amasser, mettre ensemble ex faire des provisions5 familier ĂȘtre ici ex que fais-tu ici ?Emploi du verbe faireFrĂ©quent - Transitif - Autorise la forme pronominale Tournure de phrase avec le verbe faireFutur procheje ne vais pas fairetu ne vas pas faireil ne va pas fairenous n'allons pas fairevous n'allez pas faireils ne vont pas fairePassĂ© rĂ©centje ne viens pas de fairetu ne viens pas de faireil ne vient pas de fairenous ne venons pas de fairevous ne venez pas de faireils ne viennent pas de faireVerbes Ă  conjugaison similairecontrefaire - dĂ©faire - faire - redĂ©faire - refaire - satisfaire - surfaire u268.
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